La tournée de Mathilde Ramadier en librairie pour "Vivre fluide"
Vivre Fluide, le dernier essai de Mathilde Ramadier sera en librairie dès le 8 septembre 2022.
Son autrice sera en France à partir du 6 septembre pour des rencontres en librairies et des interviews médias. Vous pourrez la retrouver :
- le 9 septembre à partir de 19h à la librairie Les mots à la bouche (Paris 11)
- le 10 septembre au festival Les bibliothèques idéales à Strasbourg à 16h30
- le 14 septembre à la librairie à soi·e à Lyon à 19h15
- le 15 septembre à la librairie Les Modernes à Grenoble
- le 16 septembre à la librairie Mosaïque à Die à 18h
- le 17 septembre au festival Été indien à Arles
puis à Nice (librairie Massena) le 21/9, à Montpellier le 22/9 (Fiers de lettres), à Talence (librairie Georges) le 23/9, à Toulouse (librairie Au bonheur des Dames) le 24, à Bayonne (librairie Simone) le 27/9, à Nantes (Les bien aimés) en octobre…
Marie Claire met à l'honneur "Vivre fluide", de Mathilde Ramadier, à paraître le 8 septembre
Sous le titre "Hétéros mais pas trop", le numéro du mois d'août du mensuel féminin Marie Claire donne la parole à Mathilde Ramadier en amont de la parution de son essai Vivre fluide. Quand les femmes s'émancipent de l'hétérosexualité.
"Le politique au prisme de l'Europe" : Aram Kebabdjian dans La suite dans les idées
Et si l'Europe, tout à la fois distante et omniprésente, offrait la meilleure porte d'entrée pour analyser les rapports ordinaires au politique ? C'est l'hypothèse à l'origine d'une passionnante enquête de la politiste Marine de Lassalle, rejointe en seconde partie par Aram Kebabdjian, auteur de L'Hymne à la joie.
Réécouter le podcast sur France Culture.
"Un ovni littéraire venu d'Autriche" titre Le Temps pour "La Vie avec Marianne"
"Déboussolant", tel est le premier mot de la journaliste du Temps pour décrire "l'ovni littéraire" qu'elle vient de découvrir. Isaure Hiace, qui signe cet article, décrit La vie avec Marianne, le roman de Xaver Bayer, comme "un récit dans lequel on navigue avec bonheur entre rêve et réalité".
Le livre que nous tenons entre nos mains, dont le narrateur affirme ici être l’auteur, est donc voué à disparaître. C’est le tour de force de Xaver Bayer dans ce roman: montrer la toute-puissance de l’écrivain.
Une recension d' "Imposture à temps complet" dans la Revue Etudes
Une recension du livre de Nicolas Kayser-Bril, Imposture à temps complet dans la Revue Etudes.
Transposant l’hypothèse de Veblen à l’analyse du marché du travail contemporain, Kayser-Bril voit dans le besoin de mettre en scène son travail, fût-il totalement inutile, voire parce qu’il est inutile, le résultat de la substitution d’une société ostensiblement fondée sur le mérite du travail à une société de « classes ». Pour que cette illusion fonctionne, il faut faire croire que l’activité professionnelle justifie la position sociale. Les bullshit jobs existeraient en partie pour permettre la mise en scène de l’activité des castes supérieures et lui donner les habits du travail. En somme, pour avoir l’air méritant, il faut avoir l’air de travailler.
Le Grand Procès des animaux sous l'oeil de Jean-Pierre Léonardini
Dans sa Chronique-théâtre publiée chaque lundi dans le journal L'Humanité, Jean-Pierre Léonardini analyse Le Grand Procès des animaux de Jean-Luc Porquet et Wozniak et imagine une adaptation pour cet ouvrage, car "Quoi de plus théâtrale qu'un procès ?"
C'est infiniment drôle, profondémment moral et instructif, car le discours de "nos frère inférieurs" est étayé par un louable savoir encyclopédique, dont témoigne une abondante bibliographie savante.
Les Éditions du Faubourg au nouveau festival de la SGDL
Les Éditions du Faubourg et leurs auteurs vous attendent le 24 et 25 juin au nouveau Festival organisé par la Société des Gens de Lettres : Espèces d'auteurs. Il s'adresse à toute la communauté des auteurs, des traducteurs et des illustrateurs de livres, et à leurs lecteurs. Au programme : tables rondes professionnelles sur des sujets d'actualité ayant trait à la création ou à l'économie du livre, rencontres littéraires, lectures sous l'arbre, ateliers à destination des jeunes publics, tables d’éditeurs et de libraires indépendants, remise des Grands Prix littéraires 2022 de la SGDL, concerts et soirées festives.
Rendez-vous à l'Hotel de Massa, 38 rue du Faubourg St Jacques, Paris 75014.
Entretien avec Rémy Knafou dans le Maine Libre
Rémy Knafou, auteur de Réinventer le tourisme, pointe "la nécessaire réforme de nos vacances" dans un entretien avec Frédérique Bréhaut pour Le Maine Libre.
"Les éditions du Faubourg interrogent le monde d'aujourd'hui": interview au Matricule des Anges
Deux pages d'interview de la fondatrice de la maison, Sophie Caillat, dans Le Matricule des Anges.
Pourquoi le Faubourg ?
« Je voulais un nom de lieu, neutre et populaire, de création et de débat. Le mien, c’est celui de ma grand-mère paternelle qui avait un magasin d’antiquités faubourg Saint-Antoine à Paris. » Sophie Caillat est une ancienne journaliste. Elle a créé sa maison début 2020, après uneremière expérience en duo (Premier Parallèle). Le catalogue compte déjà 21 titres. Il faut dire que les éditions du Faubourg, ambitieuses, arpentent trois voies : les sciences humaines (essais, documents), la littérature, et la bande dessinée. Le pas de côté n’effraie pas, la curiosité non plus. Pourvu que le pouls du monde batte, que le « sujet » soit de société. Côté pile, par exemple : les dérives de l’ubérisation, la servitude volontaire des salariés de l’économie sociale et solidaire (Souffrance en milieu engagé), les bullshit jobs (soit les « emplois à la con »). Côté face : des fictions mordantes, assez inattendues, comme ce Trop beau d’Emmanuelle Heidsieck ou Le Grand Procès des animaux, malicieuse fable écolo-gique. À l’enseigne du Faubourg, les (bonnes) idées circulent.
"Le dédale de l'ordinaire" : La Vie avec Marianne dans Le Figaro littéraire
Sous le titre "Le dédale de l'ordinaire. Les aventures kafkaïennes d'un homme et d'une femme à côté du monde", Astrid de Larminat consacre un long article à La Vie avec Marianne, qui "se lit comme un classique, irrigué par des figures et des inquiétudes immémoriales. Prodige littéraire!"
(...)"Il s'en dégage une claire vision de la pulsion autodestructrice de l'Occident, de la décadence de l'homo festivus qui préfère à l'ennui les plaisirs de l'horreur et du mal."