La BD Alice au pays des cryptos. Bitcoin, NFT et autres curiosités, est en librairie ce 6 octobre, et la sortie du livre est ponctuée par trois rencontres :

• samedi 14 octobre, de 14h à 17h, à la NFT Factory, 137 rue Saint-Martin, 75003 Paris, Daniel Villa Monteiro vous accueillera dans ce temple de l'art numérique et dédicacera l'album. Les acheteurs de la BD se verront offrir un NFT...

Auparavant ont eu lieu :

• vendredi 6 octobre à la librairie La Bande Dessinée à la Croix-Rousse à Lyon, Nicolas Balas était en dédicace.
• samedi 7 octobre au café La Tartine, 24 rue de Rivoli, 75004 Paris, les deux auteurs ont accueilli leur public autour d'un verre, de 16h à 19h.

Le "festival de rencontres" Livres en Marches, qui se tenait les samedi 30 et dimanche 1er octobre dans le village des Marches-Portes de Savoie, a accueilli deux auteurs de la maison. La programmation de ce festival engagé, qui veut "essaimer la matière à penser", est très proche de l'ADN des Éditions du Faubourg. 

Heïdi Sevestre, co-autrice avec François Bernard de  Demain, c'est nous, a rencontré les lycéens de Chambéry vendredi et débattu samedi avec Anne-Sophie Novel de la question : « Et si l'éducation était la solution ? » (rencontre animée par Justine Muridi).

Rémy Knafou, auteur de Réinventer (vraiment) le tourisme  s'est entretenu dimanche avec le maire de Bourg-Saint-Maurice, Guillaume Desrues, et Ariane Crosnel, sur la question suivante : « Demain, quelle économie poour nos montagnes ? » (débat modéré par Guillaume Desmurs).

Heïdi Sevestre, la co-autrice avec François Bernard de Demain, c'est nous, a depuis la rentrée une chronique dans la matinale de France Culture. Le deuxième épisode était consacré à la mer de Glace, où elle a emmené des élèves d'Annecy, sa ville natale. La glaciologue explique :

"La clé pour combattre le changement climatique, c'est l'éducation. Si on ne sait pas on ne changera pas. Comme le disait Baba Dioum :

On ne protège que ce que l'on aime, on aime ce que l'on comprend et on comprend ce qui nous a été enseigné.

Alors, qu'est-ce qu'on attend ?"

Chronique à réécouter ici.

Quel éloge, « My Fair Book » ! Nous sommes très heureuses d'apprendre que la vie d'un de nos anciens romans, « La Déconnexion », d'Eric L'Helgouac'h, se poursuit désormais grâce à cet organisme qui se donne pour mission de prolonger la vie des livres (cause que nous ne pouvons que soutenir!). A cette joie, s'ajoute celle de lire la critique très fine et sensible de la rédaction :

« Ce texte très juste nous amène à questionner l’impact sur une vie des médias et des réseaux sociaux, des intox et du complotisme. Ce roman psychologique palpitant, c’est aussi la place de la religion aujourd’hui, les mirages de la réussite et de l’argent et, plus intimement, le rôle que peut jouer l’amour dans notre destinée. Les personnages prennent vie sous nos yeux avec justesse, sagacité et humour. Une satire sociale très réussie ! »

Mention spéciale au petit tableau « Atouts », « Mood », « Fragment », qui distingue trois points forts du roman : « l'originalité du sujet (notamment sur le sens de la réussite), une écriture percutante, et l'humour et l'auto-dérision qui parcourent le texte ».

Lou Osborn et Dimitri Zufferey étaient les invités d'Alternatives économiques. Ils se sont entretenus avec la rédaction sur leur livre-évènement Wagner. Enquête au coeur du système Prigojine, « fruit de plusieurs mois d'enquête ».

Lou Osborn et Dimitri Zufferey, auteurs de Wagner. Enquête au coeur du système Prigojine, paru le 15 septembre aux Editions du Faubourg, étaient les invités de Ghizlane Kounda, à l'occasion d'une instance de son émission Le Journal de l'Afrique consacrée au groupe Wagner. Ils reviennent notamment sur leur méthodologie d'enquête, l'OSINT (Open Source Information), qui leur a permis, selon Ghizlane Kounda, d'aller « dans les détails » , et d'accumuler « un nombre incalculable de preuves ».

Dimitri Zufferey était l'invité de RFI  - Les dessous de l'infox. La journaliste salue le "gros travail" effectué par lui et Lou Osborn en utilisant la méthode de l'OSINT (Open Source Information), ainsi que la manière dont l'ouvrage "démonte la vision d'une nébuleuse insaisissable". Pour en savoir plus sur la genèse et l'avenir de Wagner en Afrique, c'est ici.

Alors que le gouvernement italien vient d'obtenir la non-inscription de Venise sur la liste "infâmante" du patrimoine en péril de l'UNESCO, Rémy Knafou, auteur de Réinventer (vraiment) le tourisme. En finir avec les hypocrisies du tourisme durable ,  revient sur deux siècles d'aveuglement volontaire et d'encouragement du surtourisme à Venise. Une politique qui a rendu la ville dépendante de cette quasi monoactivité (75% des revenus), tout en inhibant l'accès des locaux au logement, et en particulier les jeunes.  L'émission complète est à retrouver ici.

Manon Chemel, responsable du département Proche-Orient, Moyen-Orient et Afrique du Nord de l'Institut d'études de géopolitique appliquée, salue le « long travail de recherche et de terrain des auteurs » de Wagner. Enquête au coeur du système Prigojine.

Pour elle, l'ouvrage « représente pour le lecteur une opportunité unique d'accéder à des informations étayées sur la nature de cette organisation, ses objectifs, ses rapports avec la Russie et les défis qu'elle représente pour la sécurité internationale ».  Elle souligne la pertinence d'un « éclairage renouvelé sur la nébuleuse », nourri par une méthodologie d'enquête originale : l'OSINT (Open Source Intelligence ), ou renseignement en « sources ouvertes ».

Qualifié par la rédaction de l'Obs de « livre-enquête de référence sur le groupe paramilitaire russe », Wagner, au coeur du système Prigojine, est sorti ce 15 septembre.  Les auteurs de cette « autopsie foisonnante du système Wagner-Prigojine », Lou Osborn et Dimitri Zufferey, ont été parmi les premiers à écrire sur l'implication de Wagner dans le conflit, début mars 2022.  Membres du collectif indépendant All Eyes on Wagner, ils n'ont pas reçu « un centime d'un gouvernement ou d'une bourse ». Tous deux relatent avoir travaillé avec les plus grandes précautions :  « nous avons pris très soin de nos sources ».