"Un récit autobiographique convaincant" : "Nager à contre-courant" dans L'Orient XXI
Une recension de Nager à contre-courant, le roman (autobio)graphique de la Turque Özge Samanci, sur le site du journal L'Orient XXI.
Dans cet article, Jean-Michel Morel qualifie ce titre de "récit autobiographique convaincant" et évoque "un dessin épuré, proche par sa facture de celui de Plantu ou des aquarelles du Petit Prince de Saint-Exupéry et à des assemblages de photos et de papiers collés, disséminant des informations qui, au lieu de saturer la page, l’aèrent de façon bienvenue".
Une recension de "Nager à contre-courant" dans ActuaBD signée Didier Pasamonik
Nager à contre-courant, de la talentueuse Özge Samanci, nous "offre à lire un véritable petit manuel pour comprendre la Turquie contemporaine", selon Didier Pasamonik qui signe cet article pour ActuaBD.
Özge raconte tout cela avec son trait primesautier, fait de collages et d’expérimentations graphiques, s’émancipant de l’habituel gaufrier et des conventions du genre. Avec son air de Petit Prince effrontée aux couleurs roux-renard, comme elle se dessine, elle nous offre un joli conte dont les couleurs vives ne cachent pas les zones d’ombre.
L’histoire de cet ouvrage mérite d’être racontée
L'article complet est à découvrir ici.
Özge Samanci à Paris !
Nager à contre-courant, un roman graphique d'émancipation signé Özge Samanci et en librairie depuis le 6 octobre, fait parti des finalistes du Prix Wolinski de la BD du Point 2022.
L'autrice est à Paris cette semaine pour rencontrer son public français :
- le 24 novembre à la librairie BDNet Nation (Paris 20e) à 16h30
- le 25 novembre à la librairie Bulles en vrac (Paris 5e) de 17h à 20h
- le 26 novembre à la librairie Eyrolles (Paris 5e) de 16 à 18h
Nous vous attendons nombreux et nombreuses !
"Les femmes dans leur majorité éprouvent du désir pour d'autres femmes" à lire dans Libération
Libération consacre une double page à Mathilde Ramadier pour Vivre fluide. À lire dans les pages Idées du numéro du samedi 19 novembre :
« Beaucoup de femmes y pensent, un certain nombre passent à l’acte, mais peu en parlent vraiment. Dans les enquêtes sur la sexualité, elles laissent juste sous-entendre quelque chose… Une majorité d’entre elles disent se sentir attirées par d’autres femmes, mais à peine 4 % se déclarent bisexuelles.
Ce désir flottant reste un monde secret, peu évoqué, inexploré. Comme s’il n’existait pas. Un tabou ? Dans Vivre fluide (Editions du faubourg), l’autrice Mathilde Ramadier raconte plein d’histoires d’amour, de sexe et de désir féminins pour donner chair et existence à des relations souvent tenues secrètes. Elle-même a couché, dès le lycée, avec son amie Claire. Elle a, depuis, conservé cette liberté qui démultiplie les potentialités et va bien au-delà de la sexualité. "Les bisexuelles ne sont ni hétéros, ni homos, ni 50 /50, analyse-t-elle. Elles s’autorisent seulement à sortir du clivage, du mode de raisonnement binaire."
Une prise de liberté, une façon aussi d’échapper au chemin quasi obligatoire de l’hétérosexualité. "La bisexualité offre la possibilité de ne plus être l’objet sexuel des hommes, mais d'être sujets à l'écoute de la multiplicité, de la complexité des désirs", note-t-elle. C'est ce qu'elle appelle "l'envol des corps désirants". »
INTERVIEW à lire ici
"S'émanciper de l'hétérosexualité" : Vivre Fluide dans Gala
Dans un article intitulé "S'aimer en liberté", le magazine Gala revient sur l'amour dans une société en constante évolution et sur la révolution de la question du genre et ses conséquences. L'ouvrage de Mathilde Ramadier, Vivre Fluide, vient compléter ce "tour d'horizon de l'amour 3.0, plus politique mais plus libre".
Özge Samanci, " la surprise de la sélection finale" du Prix Wolinski
Le roman graphique Nager à contre-courant de la talentueuse Özge Samanci était parmi les finalistes du Prix Wolinski de la BD du Point 2022. À cette occasion, Romain Brethes lui consacre un article dans le journal Le Point.
Dans un ensemble plastiquement très riche, qui mêle dessins, collages ou photographies, Samanci revient sur son admiration pour Atatürk (elle présente même une règle authentique qui permettait de le dessiner parfaitement !), son émancipation nécessaire de la tutelle paternelle, qui la rêvait en ingénieure, et sa confrontation avec l’émergence croissante du rigorisme religieux ou la répression de la communauté kurde.
"Comment penser la bisexualité féminine ?" Vivre fluide dans La pause philo
Pour La Pause Philo, Marianne Mercier a interviewé Mathilde Ramadier au sujet de son dernier live, Vivre fluide, où "une histoire politique et militante de la sexualité féminine se dessine."
"Le cas de la bisexualité féminine en particulier interpelle, échappant semble-t-il à toute capacité à être prise au sérieux en tant qu’orientation sexuelle à part entière, masquée derrière des fantasmes et un imaginaire pornographique bien loin de la réalité des femmes qui la vivent.
Rencontrez Özge Samanci à Paris la dernière semaine de novembre
Nager à contre-courant, un roman graphique d'émancipation signé Özge Samanci et en librairie depuis le 6 octobre, vient d'être selectionné pour le Prix Wolinski de la BD du Point 2022.
L'autrice viendra à Paris pour rencontrer son public français le :
- 24 novembre à la librairie BDNet Nation (Paris 20e) à 16h30
- 25 novembre à la librairie Bulles en vrac (Paris 5e) de 17h à 20h
- 26 novembre à la librairie Eyrolles (Paris 5e) de 16 à 18h
Nous vous attendons nombreux et nombreuses !
Nager à contre-courant dans la sélection finale du Prix Wolinski de la BD du Point
Özge Samanci figure parmi les six finalistes du prix de la BD du Point.
Chaque année depuis 2004 ce prix récompense une bande dessinée parue dans l’année. Depuis 2015, en hommage à George Wolinski, qui en présidait le jury, le prix a été rebaptisé « Prix Wolinski de la BD du Point ».
Les six finalistes retenus par le jury sont :
● La Vie gourmande, Aurélia Aurita (Casterman)
● Journal inquiet d'Istanbul, Ersin Karabulut (Dargaud)
● Les Pizzlys, Jérémie Moreau (Delcourt)
● Merel, Clara Lodewick (Dupuis)
● Nager à contre-courant, Özge Samanci (Editions du Faubourg)
● La Porte de l'Univers, Goossens (Fluide Glacial)
Albert Algoud, Ugo Bienvenu, Florence Cestac, Philippe Druillet, Jul, Catherine Meurisse, Simon Spruyt (lauréat 2021), Bastien Vivès, les journalistes du Point Romain Brethes, Jacques Dupont et Christophe Ono-dit-Biot, directeur adjoint de la rédaction, se sont réunis autour de Natacha
Wolinski. Verdict le 16 novembre.
"La bisexualité, une voie vers l’émancipation ?", par Maïa Mazaurette, dans Le Monde
La chronique "Le sexe selon Maïa" est consacrée dimanche 6 novembre à la bisexualité.
"La progression continue des pratiques bisexuelles, notamment chez les jeunes femmes, va de pair avec le rejet croissant du discours binaire et du modèle classique du couple.
Elle cite Vivre fluide, et ajoute :
"Son autrice, Mathilde Ramadier, considère la bisexualité comme une émancipation, une manière de n’être plus à la disposition des hommes… sans y renoncer pour autant : « Les bisexuelles ne sont ni hétéros, ni homos, ni 50/50. Elles s’autorisent simplement à sortir du clivage, du mode de raisonnement binaire. Pas de division, mais une multiplication. »