Il a fallu un article dans le mensuel Aujourd'hui la Turquie pour que l'on apprenne que le prénom d'Özge signifiait "autre" ou "différent" en turc, et pour comprendre que l'autrice de Nager à contre-courant était prédestinée à écrire ce livre.

On apprécie également le i sans point que ces journalistes peuvent mettre à son nom de famille !

À lire dans le numéro de mars du journal, ici

François Bernard a témoigné sur Konbini News de l'aventure qu'il a menée avec une classe de La Rochelle. Siméon, son ancien élève, est à côté de lui pour raconter comment ce voyage a changé sa vie. Voir la vidéo partagée sur Twitter.

Dans le axelle magazine des mois de mars-avril, retrouvez une interview de Mathilde Ramadier, autrice de Vivre Fluide, autour de la bisexualié.

François Bernard, auteur de Demain, c'est nous avec Heïdi Sevestre, propose d'instaurer un "service à la Terre", sur le modèle de l'ancien service militaire. L'idée : éduquer les jeunes "appelé.es" au changement climatique, leur faire prendre conscience que ce dernier n'est pas une éventualité, mais bien une réalité, que l'ennemi ne vient pas d'ailleurs mais que nous sommes les seuls responsables du dérèglement climatique. 

Pour en savoir plus, retrouvez l'article de François Bernard dans le Huffpost ici. 

La première recension de Demain, c'est nous,  de François Bernard et Heïdi Sevestre est là : dans la newsletter "Chaleur humaine : comment faire face au défi climatique" du Monde par Nabil Wakim, celui-ci le décrit "un mélange étonnant de récit de voyage, de formation scientifique et de manuel d'éducation".  

Demain, c'est nous, à paraître le 3 mars 2023. 

Dans "La Voie aux chapitres" du Canard enchaîné, le dernier roman d'Emmanuelle Heidsieck Il faut y aller, maintenant, "un monologue tenu, pressant, désespéré, écrit dans un style haché, à perdre haleine". Une belle recension signée David Fontaine. 

Pour la Saint-Valentin, France Culture invite la féministe, réalisatrice et autrice Ovidie à déconstruire les codes amoureux. Pour LSD, la série documentaire, épaulée par son acolyte Tancrède Ramonet, elle tente de définir les multiples représentations romantiques qui envahissent notre époque. Qu’est-ce qui pourrait sauver l’amour ? L’espoir de culbuter toute cette culture aliénante de l’amour pour mieux la réinventer.  

Écouter l'épisode 8 "Révolutionner l'amour" :

Ne serait-il pas vain de prétendre construire un amour égalitaire alors que nous vivons dans une société qui crée de l’inégalité ? L’égalité amoureuse est-elle possible sans égalité sociale ?    

Avec : Manon Garcia, philosophe, Mathilde Ramadier, autrice, Christelle Taraud, historienne, Anne Steiner, maîtresse de conférences en sociologie  

Dans une double page sur la Turquie à l'occasion de la préparation des élections du mois de mai, Delphine Minoui a glissé un portrait de l'autrice de Nager à contre-courant, où elle loue "l'humour et l'ironie", un "récit brut et tendre", le "trait faussement naïf" et salue un "message d'espoir".

Cette semaine dans la sélection du livre du vendredi d'Ernest Magazine , David Medioni, qui signe cet article, raconte comment l'autrice d'Il faut y aller, maintenant, Emmanuelle Heidsieck "secoue les certitudes, décortique les motivations, souligne les contradictions et place le lecteur dans l’inconfort puissant et fécond qui peut être celui suscité par une œuvre littéraire majeure". 

Heidsieck tire un roman fort, intense, dérangeant et dans lequel pointe, malgré tout, une lueur d’espoir.  À lire !

Le magazine de BD de référence, DBD, donne une belle place à Nager à contre-courant.

Sous la plume de Philippe Peter, le roman graphique d'Özge Samanci est mis à l'honneur et jugé "original et surprenant. À découvrir".