Nager à contre-courant
Özge grandit sur les bords de la mer Égée en Turquie. Elle s’imagine aventurière, mais ses parents et la société veulent l’enfermer dans des cases. Son père souhaite qu’elle devienne ingénieure comme sa sœur.
Dans un pays déchiré entre laïcité et fondamentalisme, Özge tente d’écouter sa petite voix intérieure : deviendra-t-elle actrice, ou plongeuse comme Cousteau ? Sera-t-il possible de satisfaire tout le monde ?
Photos, papiers collés, tampons... Özge Samanci casse les codes dans ce roman graphique d’émancipation.
Verbatims presse française
"Publié à quelques mois du scrutin du 14 mai, l'ouvrage tombe à pic : il dresse le portrait très fouillé d'une société tiraillée entre nationalisme et conservatisme, laïcité et religion, où la petite écolière, puis l'étudiante d'alors assiste en toute candeur à l'islamisation rampante de ce qui débouchera sur la Turqui d'Erdogan et de son parti l'AKP. " Delphine Minoui dans Le Figaro salue "l'humour et l'ironie", un "récit brut et tendre", le "trait faussement naïf" et un "message d'espoir".
"Un roman graphique d’émancipation brillant qui marie la naïveté et l’humour avec la gravité et parfois le tragique d’un pays et d’une époque", RFI
"Une révélation ! Bien sûr il y a Riad Sattouf et l’épopée en six tomes de son Arabe du futur, qui rencontre l’énorme succès que l’on sait. Mais dans la catégorie roman (autobio)graphique, voici une nouvelle venue qui n’est pas syrienne mais turque, mérite la même attention et un beau succès de ventes. (...) Vous allez aimer le combat qui s’appelle Liberté et que cette Turque mène." Pierre Vavasseur (Le Parisien, sur son blog, Des minutes de lumière en plus)
"On pourrait nommer son album, Nager à contre-courant « La Turque du futur » ou « Izmiropolis » tant nous sommes dans un registre comparable aux romans graphiques de Marjane Satrapi et Riad Sattouf : un retour quelque peu nostalgique sur un monde révolu, que l’on a quitté, mais qui vous accompagne toute la vie. (...) Un trait primesautier, fait de collages et d’expérimentations graphiques, s’émancipant de l’habituel gaufrier et des conventions du genre. Avec son air de Petit Prince effrontée aux couleurs roux-renard, comme elle se dessine, elle nous offre un joli conte dont les couleurs vives ne cachent pas les zones d’ombre." Didier Pasamonik, ActuaBD
"C’est intelligent, fin et plein d’humour. La découverte d’une autrice et d’un univers. Özge Samanci est la turque du futur et une autrice qui va compter dans les prochaines années." David Medioni, Ernest Mag.
"Une très belle autobiographie enfin traduite. Un ensemble plastiquement très riche." Romain Brethes, Le Point, dans le cadre du dossier sur les finalistes du Prix Wolinski.
" Riche en inventions graphiques et en saynètes joyeuses, ce récit scanne avec délicatesse une expérience que traversent bien des ados : quand la pression scolaire finit par vous étouffer. " Éric Aeschimann, L'OBS
"Aucune lamentation, aucune perte d’énergie ou de joie de vivre, le récit et le graphisme restent légers, délicats, pleins de fraîcheur. Les objets de tous les jours sont convoqués comme des stations de la mémoire à la manière du Je me souviens de Georges Perec. La règle rose de la maitresse d’école qui toute rose qu’elle fut s’abat arbitrairement sur les mains des élèves qui mystifient insuffisamment le personnage d’Atatürk, renoncer au Commodore 64, table de jeu électronique au prix exorbitant dont Özge ne peut même pas rêver l’oriente vers d’autres plaisirs, la mer, la plongée, Cousteau." Nora Seni, Observatoire de la Turquie contemporaine.
Verbatims libraires
"Nager à contre-courant, c’est vraiment génial, j’ai vraiment adoré.
Le ton est très agréable, j’ai l’impression d’entendre un enfant qui me parle, ce n’est pas noir du tout. Je retrouve du Tim Burton sur le plan graphique.
J’ai six ans de moins qu’elle mais je m’identifie sur plein de choses : l’ordi (le Commodore 64), la télé (on avait que 2 chaînes, nous), les marques (qu’on voulait absolument), les posters pop (ça n’existe plus), même si moi c’était la belle vie à côté." Laurent, librairie Bulles en vrac (Paris 5è)
"Özge a grandi en Turquie et nous raconte avec des mots d'enfant son quotidien à l'époque. Entre dictature, incompréhension et rêves d'enfant." Margot, Librairie Mollat (Bordeaux)
"J'ai retrouvé un peu de l'Arabe du futur, mais du point de vue d'une femme et dans un tout autre pays ! J'ai apprécié le caractère de cette petite fille qui essayait de trouver sa voie et de s'épanouir au sein d'une famille qui célébrait la réussite de sa grande sœur. C'est un récit très juste et prenant, une belle découverte." Delphine, librairie de Paris.
"J'ai été un peu gêné par le graphisme au début mais finalement on s’y fait bien, notamment avec les différentes techniques. Surtout, le propos est très chouette, mêler ses questions identitaires et politiques, c’est fort, j’aurais peut-être même aimé en voir un peu plus ! Une très bonne lecture." Gaël, Les Guetteurs de Vent (Paris)
"Très chouette, tous les différents matériaux sont top et l'histoire est vraiment attachante. Un peu entre persepolis et l'arabe du futur", Laurence, Les Carnets d'Albert (Sallanches)
"Avec douceur, humour et étonnement, Özge Samanci peint un attachant et surprenant portait de cette Turquie à la croisée des chemins. Une Turquie balancée entre progressisme et conservatisme. De cette Turquie où les graines semées par des religieux contrôlants vont déboucher sur ce qu’elle est maintenant." Robert, LibrairieZbook (Québec)
" Özge nous raconte son enfance et adolescence en Turquie dans un roman graphique aux allures de carnet intime et nous livre ses difficultés à trouver sa place dans un monde parfois bien étrange. Drôle et pétillant, à lire à l'âge où tout reste à construire." Gersende, Librairie L'Esperluète
" Découvrez l'aventure de la jeune Özge, petite fille pleine de rêves et d'espoir, qui souhaite devenir une grande plongeuse sous-marine, ou encore, une aventurière à la conquête du monde.
Dans une Turquie déchirée entre laïcité, fondamentalisme et patriarcat, Özge va devoir réorienter ses rêves. Va-t-elle réussir à s'épanouir ? Devra-t-elle quitter son pays pour réaliser ses rêves ?
Un superbe roman graphique d'émancipation à découvrir !" Tristana, Librairie Eyrolles
" Le récit autobiographique de l'autrice, qui a grandi à Izmir en Turquie dans les années 80. Elle nous raconte, à hauteur d'enfant, l'école, la télévision et Dallas, sa passion pour l'eau et le Commandant Cousteau; mais aussi le culte d'Atatürk, les inégalités sociales, la radicalisation.
C'est à la fois une histoire de la Turquie claire et ludique et le récit d'une quête de reconnaissance et d'identité, le tout dans un style à la fois drôle et naïf. Une BD touchante." Léa David, Caractères libres
"Dans une société qui crée des cases, des codes, souvent contraignants, l’auteure voue à la vie des désirs d’émancipation sans limites. Détaillant sa vie quotidienne, familiale, scolaire, sociétale, l’auteure dresse un autoportrait révélateur des blocages traditionnels et des freins de la société turque notamment vis-à-vis des femmes. Heureusement, pour elle, elle est née dans une famille assez intellectuelle pour pousser les filles aux études et à la réussite. Publié aux Etats-Unis en 2015, cet album est le travail à la fois intimiste et politique d’une artiste et enseignante aux talents déjà reconnus et, graphiquement, très efficaces." L@BD
Verbatims presse étrangère
"Un roman graphique brillant et perspicace avec un cadre distinctif". - Kirkus Reviews (critique étoilée)
"En racontant son enfance riche en événements et en dangers, Samanci parvient à transmettre des siècles d'histoire de la Turquie ainsi que les bouleversements politiques et culturels qui ont marqué ces dernières décennies dans ce pays... Mais malgré toute sa gravité, le livre ne semble jamais lourd... L'un des talents de Özge Samanci est de savoir comment faire prendre son envol à une histoire même très dure." - The New York Times Book Review
"Un roman graphique fascinant, à la fois émotionnellement fragile et fort, poignant et ironique, sincère et finalement optimiste." - Los Angeles Review of Books
"Samanci est une dessinatrice douée, dotée d'un sens inné du rythme et d'un puits apparemment inépuisable d'idées pour présenter des informations - le livre regorge de cartes, de diagrammes, de feuilles collées, de gribouillis et de tampons d'encre. Il est remarquablement énergique sur la page et, associé à la voix séduisante et réfléchie de Özge Samanci, il offre une expérience de lecture de mémoires parfaitement satisfaisante : pas seulement l'histoire de la vie d'une personne, mais la chance de voir le monde à travers les yeux d'une autre personne." - The Slate Book Review
Avis lecteurs
"Une très belle découverte ! Un roman graphique que je n'attendais pas réellement... Mais qui a su me captiver, à travers le coup de crayon et tout particulièrement les tranches de vies de cette jeune femme, Özge, qui revient sur de multitudes de moments de sa jeunesse et son adolescence en Turquie, entre Izmir et Istanbul. J'ai tout particulièrement apprécié la fin de l'ouvrage sur ses doutes sur son chemin de vie, les études, la place de l'amitié, de sa famille, la dureté de son père, la douceur de la mère, le lien avec sa soeur... J'ai également aimé en apprendre plus sur la vie en Turquie dans les années 80-90, la politique..." Julouch sur Babelio
"J'ai beaucoup apprécié cet excellent ouvrage. Quand Özge Samancı raconte sa scolarité primaire au début des années 1980 avec la figure d'Atatürk omniprésente, l'embrigadement des enfants, les punitions corporelles, cela me fait penser à ce que vit Riad Sattouf en Syrie à peu près à la même époque, toutes proportions gardées car Özge vit dans une famille libérale. J'aime la façon dont elle restitue l'innocence de l'enfance et le cadre matériel de la vie à cette époque. En grandissant elle garde intacte sa capacité à s'enthousiasmer ce que je trouve très plaisant. Elle m'apparaît très sympathique et son livre aussi où le dessin s'accompagne de photos d'objets, papiers collés et autres inventions plastiques. Une très bonne découverte !" Nanouche sur Babelio
"Nager à contre-courant" dans Bulles de BD sur France Inter
Mercredi 10 mai sur France Inter, à quelques jours des élections présidentielles, la Turquie était à l'honneur dans l'émission Bulles de BD de Laëtitia Gayet. Et quoi de mieux que la BD d'Özge Samanci pour parler de la Turquie d'hier et celle d'aujourd'hui, de la place des femmes dans cette société conservatrice.
"Özge Samanci, le ton est grave mais le trait fin, elle compose avec l'incompréhension et l'injuste." Laëticia Gayet
"Nager à contre courant" dans la selection du Prix Bulles d'Humanité 2023 !
La BD de la Turque Özge Samanci est une nouvelle fois sélectionnée pour un prix (elle a été finaliste du Prix Wolinski de la BD du Point 2022). Cette fois si, Nager à contre-courant concourt pour le Prix Bulles d'Humanité 2023 ! Une très belle récompense, dont les finalistes seront annoncés le 5 juin dans l'Humanité Magzaine de cet été.
Nager à contre-courant dans Aujourd'hui la Turquie
Il a fallu un article dans le mensuel Aujourd'hui la Turquie pour que l'on apprenne que le prénom d'Özge signifiait "autre" ou "différent" en turc, et pour comprendre que l'autrice de Nager à contre-courant était prédestinée à écrire ce livre.
On apprécie également le i sans point que ces journalistes peuvent mettre à son nom de famille !
À lire dans le numéro de mars du journal, ici
Özge Samanci à l'honneur dans Le Figaro
Dans une double page sur la Turquie à l'occasion de la préparation des élections du mois de mai, Delphine Minoui a glissé un portrait de l'autrice de Nager à contre-courant, où elle loue "l'humour et l'ironie", un "récit brut et tendre", le "trait faussement naïf" et salue un "message d'espoir".
Nager à contre-courant, "original et surprenant" selon DBD
Le magazine de BD de référence, DBD, donne une belle place à Nager à contre-courant.
Sous la plume de Philippe Peter, le roman graphique d'Özge Samanci est mis à l'honneur et jugé "original et surprenant. À découvrir".
La vraie histoire de la naissance de son roman graphique par Özge Samanci (via L'Observatoire de la Turquie)
Nora Seni a filmé son entretien avec la Turque Özge Samanci, lors de la soirée privée organisée le 22 novembre aux éditions du Faubourg. Voici l'article publié par L'Observatoire de la Turquie contemporaine).
Özge Samanci sur RFI
Radio France International consacre une grande chronique à Özge Samanci. C'est Anne Andlauer, la correspondante à Istanbul, qui parle de Nager à contre-courant (à réécouter ici, à partir de 9 minutes) :
"Un roman graphique comme on en lit peu.
Un témoignage précieux sur ce qu’a été et est encore en partie le système éducatif turc, une forme d’embrigadement rendu obligatoire par les militaires turcs, le stress et la concurrence que ce sytème instaure.
Une mine d’informations mais avant tout un roman graphique d’émancipation brillant qui marie la naïveté et l’humour avec la gravité et parfois le tragique d’un pays et d’une époque."
Nager à contre-courant : une "révélation" selon Pierre Vavasseur
Pierre Vavasseur ne tarit pas d'éloges sur Özge Samanci et sa BD Nager à contre-courant. Sur son blog Des minutes de lumière en plus, il écrit :
"Bien sûr il y a Riad Sattouf et l’épopée en six tomes de son « Arabe du futur » qui rencontre l’énorme succès que l’on sait. Mais dans la catégorie roman (autobio)graphique, voici une nouvelle venue qui n’est pas syrienne mais turque, mérite la même attention et, ça va de soi, un beau succès de ventes. (...)
Pour représenter les choses, même brièvement, et nous les enfoncer comme un poignard entre les neurones, Özge peut compter sur ce trait efficace, faussement naïf mais si inventif, parsemé d’échappées électriques et colorées, sympathique poil à gratter, qui constituent son style.(...)
Vous allez aimer le combat qui s’appelle Liberté et que cette Turque mène."
"La Turque du futur" dans Ernest Mag
Ernest Mag a fait de Nager à contre-courant son livre du vendredi :
"Si vous aimez Riad Sattouf ou Marjane Satrapi, alors vous allez adorer Özge Samanci et son roman graphique magistral “Nager à contre courant”. Nous sommes en Turquie au sein d’une famille d’Izmir, dans les années 1980.
Il y a les parents, il y a Pelin, la grande sœur, qui veut être ingénieure, l’oncle Nihat, un poil hippie sur les bord vivant dans un squat, il y a le père d’Özge qui, lui, est inquiet. Özge, elle, est espiègle, observatrice curieuse. Pleine de vie. Elle admire le Commandant Cousteau et regarde Popeye et Dallas à la télévision.
Özge Samanci est la turque du futur et une autrice qui va compter dans les prochaines années." !
Özge Samanci sur TV5 Monde
TV5 a rencontré Özge Samanci à Paris. Voici le reportage (visible à 19'30''). Selon Pascale Bourgaux, la journaliste qui l'a interviewée, "la force de ce livre, c'est son universalité". On écoute Özge :
"Quand j'étais au collège, j'aurais rêvé que quelqu'un me donne ce livre.
J'avais des conversations imaginaires avec le commandant Cousteau. Il me disait 'fais ce que tu veux'. Je lui disais je vis en Turquie, je suis une femme, vous, vous vous êtes soutenu par votre amée, comment moi je pourrais y arriver. Il me disait mais tu n'es pas obligée de faire plaisir à ton père, tu peux suivre ta petite voix intérieure. Vous ne comprenez rien, je lui disais "
"Un récit autobiographique convaincant" : "Nager à contre-courant" dans L'Orient XXI
Une recension de Nager à contre-courant, le roman (autobio)graphique de la Turque Özge Samanci, sur le site du journal L'Orient XXI.
Dans cet article, Jean-Michel Morel qualifie ce titre de "récit autobiographique convaincant" et évoque "un dessin épuré, proche par sa facture de celui de Plantu ou des aquarelles du Petit Prince de Saint-Exupéry et à des assemblages de photos et de papiers collés, disséminant des informations qui, au lieu de saturer la page, l’aèrent de façon bienvenue".
Une recension de "Nager à contre-courant" dans ActuaBD signée Didier Pasamonik
Nager à contre-courant, de la talentueuse Özge Samanci, nous "offre à lire un véritable petit manuel pour comprendre la Turquie contemporaine", selon Didier Pasamonik qui signe cet article pour ActuaBD.
Özge raconte tout cela avec son trait primesautier, fait de collages et d’expérimentations graphiques, s’émancipant de l’habituel gaufrier et des conventions du genre. Avec son air de Petit Prince effrontée aux couleurs roux-renard, comme elle se dessine, elle nous offre un joli conte dont les couleurs vives ne cachent pas les zones d’ombre.
L’histoire de cet ouvrage mérite d’être racontée
L'article complet est à découvrir ici.
Özge Samanci à Paris !
Nager à contre-courant, un roman graphique d'émancipation signé Özge Samanci et en librairie depuis le 6 octobre, fait parti des finalistes du Prix Wolinski de la BD du Point 2022.
L'autrice est à Paris cette semaine pour rencontrer son public français :
- le 24 novembre à la librairie BDNet Nation (Paris 20e) à 16h30
- le 25 novembre à la librairie Bulles en vrac (Paris 5e) de 17h à 20h
- le 26 novembre à la librairie Eyrolles (Paris 5e) de 16 à 18h
Nous vous attendons nombreux et nombreuses !
Özge Samanci, " la surprise de la sélection finale" du Prix Wolinski
Le roman graphique Nager à contre-courant de la talentueuse Özge Samanci était parmi les finalistes du Prix Wolinski de la BD du Point 2022. À cette occasion, Romain Brethes lui consacre un article dans le journal Le Point.
Dans un ensemble plastiquement très riche, qui mêle dessins, collages ou photographies, Samanci revient sur son admiration pour Atatürk (elle présente même une règle authentique qui permettait de le dessiner parfaitement !), son émancipation nécessaire de la tutelle paternelle, qui la rêvait en ingénieure, et sa confrontation avec l’émergence croissante du rigorisme religieux ou la répression de la communauté kurde.
Rencontrez Özge Samanci à Paris la dernière semaine de novembre
Nager à contre-courant, un roman graphique d'émancipation signé Özge Samanci et en librairie depuis le 6 octobre, vient d'être selectionné pour le Prix Wolinski de la BD du Point 2022.
L'autrice viendra à Paris pour rencontrer son public français le :
- 24 novembre à la librairie BDNet Nation (Paris 20e) à 16h30
- 25 novembre à la librairie Bulles en vrac (Paris 5e) de 17h à 20h
- 26 novembre à la librairie Eyrolles (Paris 5e) de 16 à 18h
Nous vous attendons nombreux et nombreuses !
Nager à contre-courant dans la sélection finale du Prix Wolinski de la BD du Point
Özge Samanci figure parmi les six finalistes du prix de la BD du Point.
Chaque année depuis 2004 ce prix récompense une bande dessinée parue dans l’année. Depuis 2015, en hommage à George Wolinski, qui en présidait le jury, le prix a été rebaptisé « Prix Wolinski de la BD du Point ».
Les six finalistes retenus par le jury sont :
● La Vie gourmande, Aurélia Aurita (Casterman)
● Journal inquiet d'Istanbul, Ersin Karabulut (Dargaud)
● Les Pizzlys, Jérémie Moreau (Delcourt)
● Merel, Clara Lodewick (Dupuis)
● Nager à contre-courant, Özge Samanci (Editions du Faubourg)
● La Porte de l'Univers, Goossens (Fluide Glacial)
Albert Algoud, Ugo Bienvenu, Florence Cestac, Philippe Druillet, Jul, Catherine Meurisse, Simon Spruyt (lauréat 2021), Bastien Vivès, les journalistes du Point Romain Brethes, Jacques Dupont et Christophe Ono-dit-Biot, directeur adjoint de la rédaction, se sont réunis autour de Natacha
Wolinski. Verdict le 16 novembre.
Une recension de "Nager à contre-courant" dans dBD
dBD, le magazine d'actualité de la bande dessinée fait une recension du roman graphique d'émancipation de Özge Samanci, Nager à contre-courant .
"Il y a dans cette BD quelque chose d'essentiel" : une critique de Nager à contre-courant par la Librairiez
Une recension de Nager à contre-courant sur le blog de la librairieZ.
" Avec douceur, humour et étonnement, Özge Samanci peint un attachant et surprenant portait de cette Turquie à la croisée des chemins. Une Turquie balancée entre progressisme et conservatisme. De cette Turquie où les graines semées par des religieux contrôlants vont déboucher sur ce qu’elle est maintenant."
À travers un judicieux choix d’anecdotes évocatrices, à travers ses notions politiques, sociales et historiques extrêmement bien intégrées à son récit, à travers ses personnages aussi sympathiques qu’authentiques, Özge Samanci propose un nostalgique portait nuancé. Nostalgique oui, mais sans complaisance sur la Turquie de sa jeunesse. Nager à contre-courant sent la Turquie, goûte la Turquie, explique la Turquie et vibre aux rythmes de la Turquie.
Nager à contre-courant m’a presque autant impressionné que L’Arabe du futur, la lumineuse bédé sur l’enfance de Riad Sattouf. Il y a dans sa bd quelque chose d’essentiel qui m’a permis de comprendre la Turquie actuelle. Il y a aussi le parfum qui m’avait tant plu lors de mon séjour en 2001. Il y a enfin la cruelle constatation que ma Turquie n’était qu’illusion. Un phantasme qui n’existait que dans mon imagination, nourrie par des images de cartes postales, loin d’un quotidien qui n’étais pas si rose et qui l’est encore moins aujourd’hui.
Lire l'article complet ici.
Nager à contre-courant chroniqué sur BDGest
Le site de chroniques de BDGest a lu le roman graphique d'Özge Samanci et y a mis 3,5 étoiles
"Bien raconté et touchant, Nager à contre-courant. Une enfance en Turquie constitue une belle découverte à ne pas bouder."
"Nager à contre-courant" dans les 14 BD préférées de la rentrée de L'Obs
La BD de la Turque Özge Samanci Nager à contre-courant figure dans la sélection des BD préférées de la rentrée de L'Obs. Selon Éric Aeschimann qui signe cet article, ce récit d'émancipation " riche en inventions graphiques et en saynètes joyeuses scanne avec délicatesse une expérience que traversent bien des ados : quand la pression scolaire finit par vous étouffer."
L'article est à retrouver sur le site de L'Obs.fr
Découvrez et soutenez les Éditions du Faubourg
Découvrez et soutenez les Éditions du Faubourg, maison d’édition indépendante et engagée.
En cette rentrée 2022, dans la foulée de l'intervention de la fondatrice sur France Inter, nous vous proposons plusieurs portes d’entrée vers nos livres :
- Vous brûlez de découvrir nos parutions de l’automne ? Nous pouvons vous envoyer en avant-première l’essai de Mathilde Ramadier sur la bisexualité féminine, Vivre fluide, à paraître le 8 septembre, et la BD d’émancipation de la Turque Özge Samanci à paraître le 6 octobre, Nager à contre-courant.
- Vous aimez les romans graphiques ? Les quatre publiés depuis 2020 reflètent de grands sujets de société : la collapsologie, la pression à la maternité, le risque d’accident nucléaire, l’erreur judiciaire… chaque fois un·e auteur·e spécialiste d’un sujet s’est allié·e à une illustratrice qui signe son premier album pour composer une narration à deux voix.
- Vous voulez être sûr·e d’avoir un beau cadeau de Noël à offrir cette année ? Prenez d’emblée trois exemplaires du Grand procès des animaux, de Jean-Luc Porquet, succès de 2021, et nous vous offrons une affiche A3 couleur d’un dessin de Wozniak.
- Enfin, si les enjeux écologiques vous passionnent, nous avons imaginé un pack comprenant deux BD, un livre illustré et un essai permettant d’aborder quatre aspects actuels : l’effondrement, le risque nucléaire, la question animale et le tourisme.
NB : Cette offre est valable jusqu’au 24 septembre (sauf celle du Grand procès des animaux qui se prolongera jusqu’au 24 décembre).
Si vous pouvez venir chercher les livres au bureau, nous serons ravies de vous accueillir et de vous offrir un cadeau surprise !
Si vous voulez les recevoir chez vous, nous ramenons les frais de port au minimum.