"L'IA est un cruel révélateur de nos biais discriminatoires"

La Revue Études rencense L'intelligence artificielle, ses biais et les nôtres de Rémy Demichelis.

Le 28 octobre, dans un article intitulé "Instaurer des taxes pour mettre fin au tourisme de masse : un coup d’épée dans l’eau ?", Le Figaro recense l'ouvrage de Rémy Knafou, spécialiste de la question.

Nous aurons la joie de vous acceuillir au lancement du nouveau livre de Thomas Baumgartner, L'Argent des gens, le jeudi 14 novembre à 19h30 à la librairie Le Monte-en-l'air (2 rue de la Mare, 75020 Paris) ! Invitation ici.

Thomas Baumgartner sera également présent le samedi 9 novembre de 10h à 18h au Centenaire - Salon du livre de l'ESJ Lille. Entrée libre et gratuite pour tous·tes, réservation sur place ou en ligne obligatoire. 

Enfin, l'auteur présentera son livre à Chambéry (La Base / Scène Nationale Malraux) le mercredi 4 décembre, sur l'invitation de Livres en Marches !

Nous vous attendons nombreux et nombreuses pour découvrir cette enquête sur ce tabou qui en dit long sur nous.

Sous le titre "l’école en mission d’intégration pour les enfants allophones", le quotidien du soir rend hommage ce jeudi 31 octobre à la bande dessinée d'Aurélie Castex, Les Nouveaux venus.

"Le sigle est aussi barbare que la réalité qu’il recouvre est sensible. Les UPE2A, ou « unités pédagogiques pour élèves allophones arrivants » sont des classes qui accueillent, dans les écoles primaires publiques, des enfants étrangers ne parlant pas le français ou le maîtrisant mal.

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L’album se garde bien de tout angélisme.

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Les UPE2A ont beau être essentielles à la mission intégratrice de l’école, le dispositif possède peu de moyens et de personnels, montre l’autrice.

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Par bribes, l’album dresse aussi le portrait général d’une école publique malmenée. "

L'auteur de L'argent des gens, Thomas Baumgartner, dont le livre paraît le 8 novembre, était l'invité, ce lundi 28 octobre, de l'émission 8 milliards de voisins, sur RFI.

Dis-moi ce que tu fais de ton argent, je te dirai qui tu es… a lancé la journaliste Laurence Garcia à ses deux invités, notre auteur et Fabrice Florent, producteur de podcasts notamment Histoires d’argent.

Thomas Baumgartner a été interrogé sur la transparence dont il fait preuve dans l'introduction du livre sur ses propres revenus.  Rien d'aurte que "de la politesse !", selon lui.

Tous les invités se sont mis d'accord pour dire que "L’argent ça ne parle pas d’argent mais de nous !" et c'est culturel, comme ont témoigné les auditeurs.

Pour l'auteur, la question que pose l'argent, c’est "comment garder sa liberté et comment rester soi-même ?".

Et s'il avait 200 millions d’euros, que ferait-il ?

"Je n’en parlerai pas à mes enfants !"
 

Samuel Grzybowski était le Grand témoin de la matinale de RCF ce lundi 28 octobre.

Dans l'interview de 17 minutes (à réécouter ci-dessous), il est interrogé par le journaliste Louis Daufresne :

"Au vu de l'implantation du RN dans les campagnes françaises,  peut-on parler des territoires perdus de la gauche ?"

L'auteur des Terroirs et la gauche développe sa vision de l'identité française : "plus nous sommes enracinés plus nous avons accès à l’universel", et revient sur les saveurs, ce qui rend fiers et singuliers les habitants de Commercy par exemple, la madeleine ou la mirabelle dans la Lorraine de sa grand-mère.

"Il y a une longue histoire d’invisibilisation des terroirs depuis la révolution, des Pyrénées atlantiques à la Haute-Garonne, car les révolutionnaires pensaient que nos particularismes menaçaient notre identité nationale."

Il explique aussi que :

"ce qui est important c’est d’être en relation avec cette terre, pas seulement d’y être né, le droit du sol et pas le droit du sang. (La race bourguignonne c’est que pour les vaches!)."

Interrogé sur la carte des bassins versants présente dans son livre, il rappelle :

"il y a une proposition portée par les écolos de redécouper les circonscriptions à l’échelle des biorégions".

Samuel Grzybowski était l'invité de la séquence "La parole inattendue" ce dimanche 27 octobre, et a embarqué dans la voiture de l'émission Le Jour du Seigneur.

Il a fait le lien entre ses deux engagements, pour la justice sociale et climatique, et comme chrétien.

Le journaliste David Milliat l'a fait disserter sur l'Évangile selon Saint-Marc. L'auteur des Terroirs et la gauche témoigne sur la "joie" :

"Le compagnonnage, le commun et les liens qui s’y créent est une source de joie infinie pour moi.
J’ai toujours été et chrétien et engagé pour la justice sociale et climatique, et j’ai toujours trouvé que les espaces étaient un peu séparés. Dans les milieux de gauche, beaucoup de gens redécouvrent l'Évangile. À gauche, je découvre un patrimoine de combat pour la justice insatiable pour l’inspiration.
Et je trouve dans l’Évangile, aussi, plus profond, ces couches sédimentaires qui ne me quittent pas.

Je suis très attaché à l’ancrage dans une terre, et mon terroir actuellement, c’est le 19è arrondissement de Paris où j'anime une coopérative."

Aurélie Castex et Sophie, l'enseignante d'UPE2A dont elle a intégré la classe pendant un an pour réaliser sa bande dessinée Les Nouveaux venus, étaient à l'antenne des 64' de TV5 Monde, ce 15 octobre.

Deux ans après la mort de Jina Mahsa Amini, Megan Clement s'est entretenue pour le média Les Glorieuses avec Shila Behjat, dont le témoignage se lit dans Nous n'avons pas peur. Le courage des femmes iraniennes, paru en mars dernier,  aux côtés de ceux de 15 autres femmes iraniennes.