Dans une tribune pour La Croix, Samuel Grzybowski, auteur de l'essai Les Terroirs et la gauche, inscrit la lutte sociale et écologique des agriculteurs dans sa réflexion sur les liens entre terroirs et politique.

Le week-end du 7-8 décembre prochains à Paris, nous serons à la 5e édition du Salon du livre et des vins d'auteurs Mi-livre Mi-raisin, aux côtés de près de 60 autres éditeur·ices et vigneron·nes !

Au programme de ce festival audacieux : stands et dédicaces, remise de prix, lecture-happening...

Informations pratiques :

 

• De 11h à 20h, samedi et dimanche
• La Bellevilloise, 21 rue Boyer, 75020 Paris
• Stand 53
• ENTRÉE : 10 € la journée ou 15 € le pass 2 jours (billets ici)

À cette occasion, Samuel Grzybowski dédicacera son essai, Les Terroirs et la gauche, paru en septembre, sur notre stand. Rendez-vous samedi de 11h à 13h et dimanche de 13h à 15h pour découvrir ou redécouvrir ce « livre salutaire » (Zébuline Mag) qui « invite la gauche à ne pas délaisser ces identités vivantes et s’employer ainsi à contrer les discours de l’extrême droite » (Politis). 

Création graphique du salon : Laurence Chéné.
 

La revue Études de décembre a lu Les Terroirs et la gauche de Samuel Grzybowski.

Frédéric Bardeau revient sur l'ouvrage L’Intelligence artificielle, ses biais et les nôtres dans Alliancy, le mag numérique et business.

"Rémy Demichelis qui est un des rares qui ne “hurle pas avec les loups” et traite la question sensible et importante des “biais” des IA avec équilibre et profondeur, et ça fait du bien dans les temps qui courent."

"La présidente de Mountain Wilderness nous invite à repenser la montagne à travers le prisme de la transition environnementale et sociale", écrit Outside magazine, qui a interviewé Fiona Mille pour son livre Réinventons la montagne.

Retrouver l'article Entre utopie et dystopie, les trois projections sur l’avenir des Alpes en 2030 par Fiona Mille.

Parler d'argent comme le fait Thomas Baumgartner dans son livre,

"une entreprise courageuse, au vu du tabou qui entoure ce terme et des multiples (mauvaises) interprétations que l’on peut en avoir."

estime Emile Magazine, le magazine des Alumni de Sciences Po, où l'auteur donne des cours.

"Thomas Baumgartner met ici au jour un paradoxe invisibilisé entre cette omniprésence et le tabou qui régit toutes les discussions autour de l’argent. 

Une invitation à bousculer les catégories de pensée et à réevaluer nos conceptions strictes de cette notion controversée."

La librairie de l'éducation, celle du réseau Canopé (réseau des experts pédagogiques) a fait de la BD d'Aurélie Castex Les nouveaux venus sa reco de la semaine sur Instagram :

« une BD captivante et bienveillante, avec des dessins simples mais expressifs, qui ne tombe pas dans le misérabilisme, qui réussit à transmettre l’engagement des enseignants et l’émotion des élèves dans une atmosphère à la fois joyeuse et réaliste.

Un ouvrage sensible, essentiel, qui offre un regard humain sur la diversité culturelle et les défis de l’apprentissage. »

Dans les pages Idées de la revue Politis, Olivier Doubre recense le dernier livre de Samuel Grzybowski, Les Terroirs et la gauche.

La RTS a invité Thomas Baumgartner à parler de son livre L'argent des gens. Tentative d'épuisement de nos porte-monnaie.

C'est à réécouter ici (à partir de 20 minutes et 30 secondes).
 
L'auteur raconte son intérêt au départ littéraire sur ce sujet et explique que paradoxalement, ça n’a pas été difficile de trouver les témoins qui veulent bien parler...

Le média présente Fiona Mille et son dernier livre, Réinventons la montagne.