Venir après (poche)
« Je suis une fille de déportée. En relisant ces mots, j’ai un sentiment d’étrangeté et d’irréalité. Ma mère a été déportée. »
Comment dire cette enfance singulière, ces parents qui parlaient avec un accent, ces toutes petites familles déracinées, ces traces de la Shoah sur la deuxième génération qui n’a pas connu les camps, mais a grandi dans le traumatisme de cette tragédie ?
Danièle Laufer a recueilli les témoignages d’une vingtaine de femmes et d’hommes, comme elle nés de survivants des camps nazis. Tous ont estimé que l’heure était venue pour eux de parler afin de transmettre la mémoire de ce qui les a « à la fois détruits et construits ».
Avec une grande sensibilité, elle a tissé ensemble leurs histoires, leurs émotions et les siennes. Ce livre universel s’adresse à tous ceux qui, de près ou de loin, ont un intérêt pour la guerre et les traumatismes qu’elle laisse sur plusieurs générations.
Venir après se lit comme un roman, un texte de résilience, un appel à la vie malgré tout.
Version poche de Venir après, paru en mars 2021.
VERBATIMS GRAND FORMAT
PRESSE :
"Un récit polyphonique et sensible." La Croix
"Un ouvrage poignant." Marianne
"Précieux et indispensable pour les générations à venir." Les Échos
"Vivre après, c’est sentir toujours ce poids écrasant. Il l’est d’autant plus que cette génération née dans l’après guerre hérite non pas de l’expérience directe de l’horreur, mais de son ombre." Le Monde des Livres
"Un livre sensible et rare." Le Canard enchaîné
LIBRAIRES :
"Écoutez ce qu’elle dit. C’est précieux." François Wolfermann, Librairie Kléber (Strasbourg)
"Un livre émouvant et bouleversant, un ouvrage essentiel qui interroge avec justesse la mémoire collective et intime. Une réflexion sur la transmission, sur l'héritage familial et son cortège de fantômes familiaux. Un récit qui vous happe et que vous ne pourrez plus lâcher." Delphine Desmoures, Librairie des Halles (Niort)
"Une parole émouvante, touchante de ces héritiers d'une mémoire terrible et nécessaire. Au détour d'une page, surgit le sentiment d'avoir quelque part vaincu le monstre... puisqu'ils sont là L'indicible doit être dit..." Coup de cœur de Sophie Banet, librairie La tête ailleurs (Paris 11e).